Il est clair que l’ambition d’Aston Martin est réelle. Cowell ne turnover pas sur son admiration pour Horner, mais place l’accent sur la Dream Team déjà à l’œuvre: Newey, Enrico et un bataillon d’ingénieurs chevronnés revisitent le projet Silverstone. Les nouvelles installations high-tech, les recrutements stratégiques et le soutien sans relâche du patron Stroll dessinent les contours d’une écurie qui vise haut, très haut.
Christian Horner, c’est un nom qui aimante la rumeur aussi fort qu’un aimant puissance dix. Depuis son départ fracassant de Red Bull, chaque paddock bruisse de spéculations sur sa prochaine destination. Évidemment, Aston Martin, désormais pilotée par Andy Cowell, ne pouvait y échapper. Alors, la rumeur Horner chez les Verts: info ou intox ?
Un suspense taillé pour la F1
Il faut dire que l’ancien boss britannique trimballe derrière lui un palmarès à faire pâlir n’importe quel chef d’écurie. Avec Adrian Newey dans le staff et un Lawrence Stroll plus déterminé que jamais à inscrire Aston Martin sur la liste des champions, l’association avait tout pour faire fantasmer. Mais Andy Cowell, le nouveau patron, dissipe illico la brume: « Nous avançons avec notre propre équipe, solide et en pleine croissance. Christian ? Il prendra le temps de choisir, où qu’il aille. »
L’ambition d’Aston Martin, version 2025
Il est clair que l’ambition d’Aston Martin est réelle. Cowell ne turnover pas sur son admiration pour Horner, mais place l’accent sur la Dream Team déjà à l’œuvre: Newey, Enrico et un bataillon d’ingénieurs chevronnés revisitent le projet Silverstone. Les nouvelles installations high-tech, les recrutements stratégiques et le soutien sans relâche du patron Stroll dessinent les contours d’une écurie qui vise haut, très haut.
Christian Horner, le doute entretenu
Interrogé à plusieurs reprises, le CEO jongle avec élégance entre la langue de bois et l’éloge poli: « Christian aime la course, il pourrait tout aussi bien s’en éloigner que rebondir ailleurs. Cela lui appartient. » Parfaitement orchestré pour ne ni fermer la porte, ni la laisser entrouverte.
Pourquoi ces rumeurs persistent-elles ?
La F1 adore les contes à rebondissements. Horner, fort de son expérience, serait un sérieux atout pour n’importe quelle écurie ambitieuse. Mais pour l’instant, Aston Martin semble vouloir valoriser sa dynamique interne plus que recruter une star supplémentaire. Les paris restent donc ouverts, mais chez les Verts, l’heure est à la consolidation.
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