L’année 2025 commence fort chez TotalEnergies: le géant de l’énergie vient de dévoiler ses résultats du premier trimestre et ce n’est pas vraiment la fête côté bénéfices. Mais attendez, avant de sortir les mouchoirs ! La marque insiste sur la solidité de ses activités malgré la tempête mondiale.
Un bénéfice net en nette baisse pour TotalEnergies
Le chiffre phare qui fait tiquer : un bénéfice net de 3,9 milliards de dollars sur les trois premiers mois de 2025, en recul de 33 % par rapport à l’an passé. Oui, la différence pique ! Cette baisse s’explique par la tendance mondiale : marchés sous tension, volatilité des prix, contexte géopolitique à couteaux tirés… Même les raffineries n’ont pas été épargnées par la chute des marges.
Des raisons de garder le cap
Mais ce serait mal connaître TotalEnergies que d’imaginer l’entreprise sombrer à la première tourmente. En interne, on parle de résultats solides et pour cause : la production d’hydrocarbures a progressé de 4 % et celle d’électricité bondit de 18 %. Des chiffres qui consolident l’avenir, même si la direction reste prudente. Leur objectif ? Maintenir la croissance de production au-dessus de 3 % pour l’année, tout en anticipant une demande de pétrole légèrement en baisse et des marchés toujours imprévisibles.
Quels impacts pour les automobilistes ?
La santé de TotalEnergies n’est pas anodine. Pour les conducteurs, l’incidence est directe : le prix du carburant dépend beaucoup de ces équilibres mondiaux que les multinationales doivent piloter tant bien que mal. Actuellement, le prix du baril oscille entre 60 et 70 dollars. Côté gaz, les cours restent soutenus, notamment sous l’effet de la reconstitution de stocks en Europe.
Conseil : pour anticiper les flambées à la pompe, surveillez les rapports trimestriels des grands groupes, mais aussi les indicateurs de marché (taux de stockage, tensions internationales, décisions politiques). Cela permet souvent d’anticiper une évolution des tarifs bien avant l’affichage en station.
Regarder au-delà des chiffres
En clair : rien n’est jamais acquis. Certains y verront un simple accident de parcours, d’autres une mutation structurelle du secteur. Une chose est sûre : TotalEnergies reste une boussole pour tout l’écosystème auto et énergétique. À surveiller de près !
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