Le circuit de Marina Bay n’a pas déçu une fois de plus lors de la dernière séance d’essais libres du Grand Prix de Singapour. L’ambiance électrique de la nuit asiatique se ressent jusqu’au bout des vibreurs, et les chronos réalisés ce samedi en disent long sur les forces en présence ! Le mot-clé du jour: séance libre.
Une hiérarchie bousculée sous les projecteurs
Impossible de rester blasé devant l’incroyable écart réduit entre les pilotes en tête. Verstappen, impérial avec son chrono de 1:30.148, n’a pourtant laissé que dix-sept minuscules millièmes de seconde à Piastri. La performance de Russell, troisième à 0,049 secondes, confirme que la sérénité Red Bull pourrait bien être sérieusement chahutée ce week-end. Derrière eux, Antonelli et Norris signent le même temps au millième près, synonymes de suspense absolument haletant. Voilà une séance libre qui a tenu toutes ses promesses !
Des outsiders remontés à bloc
Difficile de ne pas remarquer la présence de Sainz, sixième sur une Williams, ou Hadjar qui place sa Racing Bulls juste devant Hamilton parti chez Ferrari. Certains pilotes se montrent déjà très agressifs sur les réglages et les rythmes de course: on sent la tension et l’envie de surprendre. Comme toujours à Singapour, le moindre détail, la moindre faute, coûte cher. Cette séance libre a permis à chacun de jauger ses adversaires.
Les tendances à surveiller pour la course
À l’approche des qualifications, impossible d’anticiper l’issue tant la hiérarchie paraît encore mouvante. Stake et Haas se sont montrés solides, alors qu’on attendait Ferrari un peu plus haut (Leclerc dixième). Alpine et Aston Martin restent en embuscade. Parmi les conseils pour les novices ou curieux: observez l’évolution des chronos et des stratégies, car tout peut basculer. La séance libre n’est pas qu’une répétition, c’est le révélateur d’imprévus qui donneront du piment à la suite.
En résumé
Cette séance libre à Singapour a marqué les esprits par son niveau de compétitivité et des écarts infimes. Les cartes restent à redistribuer, et c’est tout ce qui fait la magie du Grand Prix de Singapour: rien n’est joué avant le drapeau à damiers. Passionnés comme profanes, préparez-vous à vivre un week-end haletant !
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