Circuit of the Americas: cap sur 2034
COTA prolonge son contrat F1 jusqu’en 2034. Croissance de l’audience US, gros impact économique et tracé spectaculaire confortent la place d’Austin au calendrier.
COTA prolonge son contrat F1 jusqu’en 2034. Croissance de l’audience US, gros impact économique et tracé spectaculaire confortent la place d’Austin au calendrier.
À Austin, Lewis Hamilton juge que les rumeurs liant Christian Horner à Ferrari distraient l’écurie. Il réaffirme la confiance en Fred Vasseur et la priorité au développement.
Sous le feu des critiques, Fred Vasseur assume la pression chez Ferrari. Entre contrat récent, saison difficile et rumeurs, il prône calme et constance.
Williams offre à Luke Browning une nouvelle FP1 au Mexique, troisième séance rookie de l’année. Le pilote, solide en F2, poursuit son intégration en F1.
Pirelli apporte à Austin les C1, C3 et C4, des composés non consécutifs, pour stimuler les stratégies. Entre 1 et 2 arrêts, le Sprint fera la décision.
Toto Wolff prône un retour de la F1 en Corée du Sud, marché jugé inexploité. Entre boom d’audience, limite à 24 courses et rotations, la fenêtre se rouvre.
Enrico Cardile défend une Aston Martin F1 à l’identité propre: s’inspirer sans copier, exploiter soufflerie et simulateur, bâtir des processus lean et avancer pas à pas.
Carlos Sainz dénonce une réalisation F1 trop axée sur people et WAGs, au détriment des dépassements. Le même jour, la F1 lance « Passenger Princess » avec Amelia Dimoldenberg et Sainz, illustrant la tension entre spectacle et essence sportive.
Matt Caller, chef mécanicien de Max Verstappen, quitte Red Bull en fin de saison pour rejoindre Sauber/Audi F1, sous l'impulsion de Jonathan Wheatley.
Andrea Stella reconnaît la fragilité des arrêts au stand McLaren, due à un mélange d’erreur humaine et de matériel exigeant. Les temps moyens seraient similaires entre Norris et Piastri. Des correctifs arrivent surtout l’an prochain, avec entraînement à l’usine.