Vibrations garanties sur la Côte d’Azur: l’Aston Martin Valhalla, supercar hybride de 1 079 ch, a fait son entrée fracassante sur le circuit légendaire de Monaco, guidée de main de maître par Fernando Alonso.
Le décor ? Les ruelles mythiques de la Principauté, juste avant que les monoplaces de Formule 1 ne s’y affrontent. Pour sa première sortie publique, la Valhalla n’a pas choisi la discrétion: c’est le champion Fernando Alonso qui a libéré la bête, sous l’œil ébahi des passionnés et curieux massés sur les trottoirs. On sent tout de suite que la Valhalla marque une rupture chez Aston Martin. Habituellement portée vers les GT raffinées, la maison anglaise change ici de recette. Moteur central, look d’avion de chasse, et une sonorité à faire pâlir une F1 actuelle: le spectacle était total.
Valhalla: la F1 débarque dans la rue
En s’attachant l’expertise d’AMG pour son V8 biturbo et en intégrant une technologie hybride de pointe, la Valhalla affiche 1 079 ch et 1 100 Nm de couple. Des chiffres sidérants qui prennent tout leur sens quand Alonso, tout sourire sous son casque, fait grimper les tours dans les virages serrés du tracé monégasque. Pour beaucoup, la Valhalla, c’est une Formule 1 déguisée en voiture de route. Même la sonorité, particulièrement aiguë, évoque sans détour la piste.
À ses côtés, Ferrari SF90 Stradale ou McLaren Artura semblent avoir trouvé une rivale à la hauteur ! Le chiffre, lui, fait tourner la tête: 999 exemplaires seulement pour le monde, à un ticket d’entrée proche du million d’euros. De quoi renforcer le côté collector, et forcément un peu inaccessible, de ce bolide d’exception.
Une stratégie audacieuse pour Aston Martin
Ce moment à Monaco marque surtout un virage historique pour Aston Martin. Jusqu’ici cantonnée aux moteurs avant, la marque affirme ouvertement ses ambitions sur le segment féroce des hypercars à moteur central. La Valhalla place ainsi Gaydon sur le même ring que Maranello ou Woking.
Pour les amateurs d’exclusivité et de technologie, c’est un exemple parfait de ce que la motorisation hybride peut apporter à la passion automobile: l’électrification ne rime plus avec fadeur, bien au contraire.
Mon avis: la Valhalla, future légende ?
Franchement, impossible de rester de marbre devant un tel objet roulant. Oui, le prix pique. Oui, peu d’entre nous auront la chance d’effleurer son volant. Mais quel pied de voir une telle ambition: le design agressif, le rugissement hybride, et cette capacité rare à donner la chair de poule rien qu’à la voir passer… On ne peut qu’espérer que l’effet Valhalla pousse la concurrence à redoubler d’audace !
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