George Russell raconte les négociations avec Toto Wolff autour de son nouveau contrat chez Mercedes. L’annonce de la prolongation est intervenue peu après sa victoire à Singapour. Le Britannique insiste: rester chez Mercedes est, selon lui, sa meilleure chance de viser le titre.
Négociations avec Toto Wolff
Dans son récit, George Russell souligne la méthode Wolff: «Fais ton travail en piste et je m’occupe du reste». Il dit n’avoir jamais été déçu par son patron, qu’il décrit comme «très bon pour récompenser ceux qui le méritent». Cette confiance réciproque a pesé dans la balance, malgré un climat de spéculations alimentées par les médias.
Mercato, Verstappen et clause protectrice
Plus tôt dans l’année, l’avenir de Russell chez Mercedes a semblé incertain. L’équipe a flirté ouvertement avec Max Verstappen, alors en plein malaise chez Red Bull. Finalement, le Néerlandais a décidé de rester chez Red Bull en 2026, mettant un terme au scénario d’un transfert, au moins pour l’instant. Selon le récit, Russell dispose en outre d’une clause qui sécurise son baquet s’il continue de performer.
La meilleure chance de titre
Russell l’affirme: sa motivation n’est «ni l’argent ni la liberté», mais la conviction que Mercedes demeure sa «meilleure chance» de décrocher le championnat. Le message est clair et cohérent avec son parcours récent: confiance interne, environnement stable et alignement d’objectifs. Dans une F1 où la rumeur gronde vite, ce choix mise sur la continuité, la relation avec Wolff et la capacité de l’équipe à récompenser la performance par des moyens concrets.
Pour la suite, le cadre paraît posé: un pilote assuré de son soutien, un team principal qui tient parole et un horizon de titre mondial comme boussole. Si la tempête médiatique revient, la méthode reste la même: livrer en piste et laisser le reste au management.

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